lundi 19 mars 2012

Mon top 5 des apprentissages technologiques

Nous voilà au terme de ce projet de blogue ainsi qu’au sprint final de la session. Quoi de mieux qu’un court bilan de mes apprentissages pour terminer en beauté ce projet constructif. Je vous présente donc le bilan de mes apprentissages au terme de ce cours et de ce projet sous la forme d’un top 5 des connaissances, habiletés, compétences que j’ai acquises sur l’intégration des technologies de l’information et de la communication.

  1. La construction d’un site Internet de classe : j’ai vu les multiples possibilités que peut offrir un site Internet dans le cadre de notre futur emploi en tant qu’enseignant ainsi que la valeur ajoutée sur l’apprentissage des élèves. Sans le cours, je n’aurai jamais été porté à essayer de construire par moi-même un site Internet, car je pensais que c’était beaucoup plus complexe.
  2. Le développement de mon esprit critique : Internet est une ressource précieuse d’informations, mais ces dernières ne sont pas toujours fiables. Cela vaut également pour les différentes technologies de l’information et de la communication. En effet, il ne s’agit pas simplement d’utiliser ses technologies dans notre enseignement pour que ce dernier en soit amélioré. Toutes les technologies n’ont pas toujours leur place dans les salles de classe et nous devons utiliser notre jugement critique pour déterminer leur valeur ajoutée dans un projet – à ce sujet, les sept indicateurs de valeur ajoutée sont aussi l’un des apprentissages significatifs qui me seront concrètement utiles dans mon enseignement que j’ai pu acquérir dans le cadre de ce cours. Aussi, il faut être assez critique pour voir que les TIC offrent de nombreux avantages, mais aussi des inconvénients. Il faut donc s’informer encore et encore et surtout valider nos informations!
  3. Le partage de connaissances et d’opinions avec mes collègues : En plus de me faire découvrir différents outils, programmes, connaissances ou sites technologiques, le blogue m’a permis d’élargir mes positions et mes idées sur certains sujets en lien avec l’intégration des TIC. Parfois, le blogue m’a tout simplement servi à en apprendre davantage sur certains sujets alors que parfois, il m’a permis de nuancer certaines de mes idées jusqu’alors préconçues sur certains sujets. J’ai ainsi pu expérimenter les véritables bienfaits du blogue en classe!
  4. Le partage de matériel : Source précieuse pour notre future formation, les sites Internet éducatifs ou les sites de partage pullulent sur Internet, mais il faut les trouver. Le blogue a été pour moi une véritable mine d’or à ce sujet et je pourrais qualifier ce cours d’utile et d’agréable seulement pour cette raison (bien qu’il en ait plusieurs). Je remercie donc mes collègues, car c’est grâce à eux que ce partage fut possible et fructueux!
  5. Le développement de mes compétences technologiques : Un cours sur les technologies de l’information et de la communication ne serait pas complet s’il ne nous permettait pas de développer nos compétences dans ce domaine. Ainsi, ce cours m’a permis d’apprendre à utiliser un grand nombre de logiciels et de sites Internet tels que Hot Potatoes, Dropbok, Google Site, Blogger, etc. Aussi, il m’a permis de me perfectionner avec des logiciels en apparence simple, mais qui comporte un grand nombre de fonctionnalités comme Microsoft Word ou Microsoft PowerPoint.

Ce cours m’a donc permis de développer des compétences qui me seront fort probablement utiles dans mon domaine professionnel, et ce, de façon concrète. Me voilà donc, mon bagage plein de nouvelles connaissances, prête à affronter le domaine de l’enseignement avec les multiples défis qu’offrent les technologies!

Les dangers des technologies


Savez-vous ce qu’est le syndrome d’hypersensibilité électromagnétique? En fait, il s’agit d’un syndrome documenté pour la première fois en 1991 et dont les principaux symptômes sont les maux de tête, les étourdissements, les nausées, les problèmes cardiaques, l’insomnie, la sensation de peau qui brûle, l’acouphène, la transpiration et la confusion. Ce syndrome serait causé par l’exposition à des sources d’émissions de CEM (câbles électriques, antennes filées ou sans-fil) (Fauteux, 2012 : 40).

Il y a quelques semaines de cela, une collègue écrivait sur les conséquences des technologies dans son blogue. Par ailleurs, elle n’avait rien trouvé de concluant sur les dangers de ces technologies sur l’organisme humain. Or, voici que cette semaine ma belle-mère me présente un article dans la revue La Maison du 21e siècle qui traite des conséquences néfastes des technologies de l’information et de la communication comme le cellulaire et ses effets sur le cerveau.

Dans cet article, on parle entre autres que le risque d’un cancer du cerveau augmente de 40 % chez les gens qui utilisent un cellulaire depuis dix ans et triplerait chez ceux qui l’ont utilisé au moins 30 minutes par jour, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Bien évidemment, les risques sont plus élevés chez les jeunes enfants, car les ondes les affecteraient plus grandement. Il est alors recommandé de ne pas utiliser le cellulaire avec des enfants. Dans le même ordre d’idées, dans l’article, on y propose différentes solutions pour minimiser notre exposition aux différentes ondes. En voici quelques exemples présentés dans l’article:

  1. Minimisez votre usage d’appareils électriques en particulier en soirée et durant la nuit. Les champs magnétiques stoppent la production de mélatonine, hormone qui règle l’horloge biologique.
  2. Éloignez ou débranchez les appareils électriques situés jusqu’à un mètre de votre lit.
  3. Éviter autant que possible d’utiliser des appareils sans fil, surtout en soirée et durant la nuit. Les bases de recharge des téléphones portables ainsi que les routeurs Wi-Fi émettent constamment des micro-ondes.
  4. Les enfants et les adolescents devraient éviter d’avoir de longues conversations avec leur cellulaire.

Ainsi, bien que nous sommes dans une ère où la technologie de toutes sortes domine, il ne faut minimiser les impacts de ces derniers sur notre corps, en particulier l’impact des téléphones cellulaires sur le cerveau. De ce fait, je considère que sachant ces impacts négatifs sur le cerveau, je limiterais, voire j’interdirais l’utilisation du téléphone cellulaire chez les jeunes de moins de 15 ans. Dans le même ordre d’idées, j’aurais de la difficulté à utiliser ces appareils en classe sachant leurs répercussions.


Pour finir, bien que nous avons souvent l’impression d’en savoir beaucoup sur les technologies de l’information et de la communication, nous nous rendons compte qu’en fait, nous en savons très peu…

Sur ce, je vous propose de consulter le site Internet en lien avec l’article. Il vous propose différents liens avec le sujet :


Bonne lecture et n’oubliez pas d’éteindre votre téléphone …


Sources :

Fauteux, André. (Printemps 2012). Déjà 10 % d’électrohypersensibles! Il faut réduire l’exposition à l’électrosmog et de désintoxiquer. La Maison du 21e siècle, 40-44.

Connaissez-vous Google Document?

Nous connaissons Google pour son moteur de recherche d'informations et d'images. Dans mon dernier billet, je vous présentais Google Traduction et dans le cadre de ce cours, nous avons utilisé Google pour notre blogue et notre site Internet, mais connaissez-vous Google Document?


Cette fonctionnalité est accessible de la même façon que pour le site Internet, c'est-à-dire avec la même adresse électronique et le même mot de passe. Sur Google Document, on peut déposer toutes sortes de documents (Word, Excel, PowerPoint, etc.). Ainsi, l'une des premières fonctions est la sauvegarde de documents sur un serveur externe, ce qui nous assure de garder certains documents en mémoire dans un endroit différent de notre disque dur d'ordinateur. Cela nous permet aussi d’y accéder en tout temps et d’y apporter des modifications, peu importe l’ordinateur sur lequel on se trouve.

Cette fonctionnalité de Google semble assez simple et on n'y voit pas, à première vue, l'intérêt de l'utiliser avec des élèves, mais elle a de multiples autres fonctions. D’abord, Google Documents permet de créer, à même le Web, des documents, des feuilles de calcul et des présentations en ligne, et ce, tout à fait gratuitement. Ensuite, ce qui est particulièrement intéressant, c’est que cet outil permet de partager notre document avec les personnes que nous voulons. Ainsi, nous pouvons travailler sur le même document et les modifications apportées à ce dernier sont enregistrées de telle sorte que nous pouvons voir qui a apporté la modification, quand et où. La fonction permet même de travailler en temps réel sur le document. Une fenêtre de chat est intégrée à l’écran et les révisions sont indiquées avec précision dans les documents.[1] Puis, cet outil de Google est directement relié à toutes les autres fonctionnalités de ce site telles que Blogger ou Google Sites, ce qui facilite la gestion.

En ce qui a trait à son intérêt en classe, sachez que Google Document permet un travail en ligne et collaboratif avec les élèves. Les élèves peuvent ainsi travailler en collaboration sur un même projet et ce dernier pourrait être partagé de telle sorte que l’enseignant peut émettre des commentaires en cours d’élaboration pour guider les élèves dans leur réalisation. Il peut être utilisé avec toutes les matières. L’imagination est votre seule limite!

Je vous laisse la référence de deux sites Internet si vous voulez en apprendre davantage sur le fonctionnement et les différentes possibilités de Google Documents.



En finissant, je vous invite à parcourir les autres fonctionnalités de Google telles que la fonction d’agenda qui peut vous être très utile ou la fameuse application Google Maps qui a complètement révolutionné notre façon d’utiliser les cartes!

Bonne visite!

mardi 13 mars 2012

Google Traduction : est-ce qu’on l’utilise en classe ou non?

Tout le monde connaît le moteur de recherche Google, mais vous êtes-vous déjà amusés à parcourir ses multiples fonctionnalités?

Depuis le début de la session, nous avons utilisé le moteur de recherche Google à deux occasions pour des projets, soit pour notre blogue ainsi que notre site Internet, et ce, toujours à partir de la même adresse et du même mot de passe. Pour les prochains billets de blogue, je vous présenterai différentes fonctionnalités de ce géant informatique qui pourraient, je l’espère, vous être fortement utiles à vous ainsi qu’à vos futurs  élèves.

Débutons par la fonctionnalité Google Traduction. Cette fonctionnalité permet, comme son nom l’indique, de traduire des pages Web ou tout mot ou expression, et ce, dans plus de 60 langues différentes. Il y a même une option qui détecte la langue utilisée. Évidemment, cette fonction n’est pas fiable à 100%, mais elle s’est énormément améliorée avec les années surtout la traduction français-anglais et vice-versa. Nous ne pouvons nous y fié complètement, mais c’est un outil très pratique lorsque nous apprenons une nouvelle langue et que nous avons de la difficulté à la lire ou à l’écrire.

Ainsi, dans le milieu scolaire, je considère qu’il s’agit d’un outil intéressant au même titre qu’un correcteur automatique. Par ailleurs, il faut que les élèves apprennent à s’en servir intelligemment. De ce fait, ils doivent comprendre que ce qui est traduit n’est pas toujours totalement juste. En effet, la fonctionnalité Google Traduction permet de comprendre l’essence générale d’un texte, mais la traduction n’est pas toujours très précise surtout en ce qui a trait aux aspects grammaticaux ou lexicaux (mots pris hors contexte).  L’ordinateur ne peut remplacer l’esprit humain! Le jugement est toujours de mise, ce qui est le mot d'ordre lorsque nous utilisons  les technologies de l'information.

Autre aspect intéressant de Google Traduction : on y propose une fonction où l’on peut écouter le texte, et ce, dans les deux langues. Encore une fois, l’outil n’est pas parfait, mais j’imagine déjà son utilité pour des élèves en difficulté de lecture. En cherchant sur Internet, j'ai aussi lu qu'il y avait une fonction de reconnaissance vocale que je n'ai malheureusement pas trouvé alors je n'ai pas pu la tester. Par ailleurs, l’image qui est présentée plus bas présente les limites de la reconnaissance vocale de Google Traduction. 


En définitive, l'application de Google est intéressante sur bien des aspects, mais elle fait appel comme beaucoup de technologies de l'information au jugement critique des élèves, une compétence transversale essentielle à développer chez ces futurs citoyens!

Sources:

samedi 25 février 2012

Le blogue pour motiver les élèves à écrire

Je suis tombée cette semaine sur un article paru sur le site Internet L’Infobourg  qui mentionnait les bienfaits du blogue pour motiver les élèves à écrire. Ainsi, des chercheurs de l’Université de Chicoutimi ont testé l’effet du blogue dans deux classes de sixième année. Les résultats ont montré une hausse de la motivation, surtout pour les filles, alors qu’on observe généralement une perte de motivation à partir de la moitié de l’année. Dans le cadre de ce projet, les élèves étaient libres d’écrire sur des sujets qui les intéressaient.

Le blogue est un outil intéressant qui permet aux jeunes comme aux enseignants de s’exprimer, mais surtout de partager leurs découvertes et leurs points de vue sur un ensemble de sujets. Ainsi, le site Carrefour Éducation propose différentes façons d’utiliser le blogue en classe : on propose le blogue enseignant pour proposer des ressources pédagogiques, pour réfléchir sur sa pratique, pour fournir des informations pratiques sur le cours, pour prolonger le travail réalisé en classe, etc. On propose également le blogue de la classe pour raconter la vie d’une classe, pour réaliser un projet, pour communiquer avec les élèves, etc. Finalement, le site propose un blogue élève pour évaluer son travail tout au long de l’année ou pour faire un devoir.

Ainsi, l’élève participe à son apprentissage et à son évaluation. Effectivement, le blogue peut servir de portfolio extrêmement intéressant pour un élève, son enseignante ainsi que ses parents en plus de fournir des pistes de réflexions et d’apprentissage à l’enseignant. De ce fait,  pourquoi ne pas partir d’un message sur le blogue d’un élève pour l’analyser et en discuter en éthique et culture par exemple ou le travailler en français comme point de départ à une situation d’écriture ou pour travailler la compétence orale autour d’un débat? Les possibilités sont multiples. En plus, lorsqu’on parle de rendre l’élève actif dans son apprentissage et que cet apprentissage soit ancré dans la réalité de l’élève, n’est-ce pas cela que ça signifie?

Pour ma part, dans ce cours sur l’intégration des technologies de l’information et de la communication, je vois de plus en plus le potentiel du blogue. En effet, depuis le début de ce projet, j’ai accumulé, grâce à mes collègues, une variété de ressources électroniques qui sont de réelles perles pour ma future profession. Ma liste de favoris a augmenté d’au moins une vingtaine de sites pédagogiques de toutes sortes. Le blogue a ses limites, mais je crois fortement qu’il a un potentiel intéressant en enseignement et nous devons prendre la peine de l’explorer.

Finalement, je vous laisse avec des adresses de blogue d’enseignants qui partagent leurs opinions ainsi que des découvertes pédagogiques de toutes sortes.

L'éducation, c'est génial de Caroline Samson et Nicole Dionne présente des ressources pédagogiques pour le préscolaire, le primaire et le secondaire.
Le blogue-notes mathématique du coyote de Didier Müller
L'espace à Zecool de Jacques Cool

Visitez le site du Carrefour Éducation pour d'autres adresses de blogue tout aussi intéressants.

vendredi 24 février 2012

« Rate my teacher »

Avez-vous déjà entendu parler du site Internet « Rate my teacher », ce site qui propose aux élèves de noter un grand nombre d'enseignants et où ils y inscrivent des commentaires pas toujours valorisants? Et bien ce site, qui est offert dans 6 pays, dont le Canada, permet aux étudiants d’évaluer leurs enseignants en fonction de différents critères et d’y inscrire des commentaires sur celui-ci. En 2010, on estimait à plus de 11 millions le nombre d’enseignants qui était évalué (Wikipédia)!

Je parlais la semaine dernière de la cyberintimidation qui touchait les élèves, mais aussi les enseignants et ce site en est un exemple. On y retrouve des commentaires positifs, mais ce n’est malheureusement pas toujours le cas et ces derniers sont souvent faits dans l’irrespect. Ainsi, les élèves ont le droit de s’exprimer, mais il faut leur apprendre à leur faire dans le respect.

Par ailleurs, les futurs enseignants que nous sommes peuvent se réjouir, puisque le site est maintenant hors de fonction au Canada. Ne reste plus qu’à espérer qu’un autre site de ce genre n’apparaisse pas sur Internet dans les prochaines années…

Comme quoi la technologie n’offre pas toujours que des avantages!

jeudi 16 février 2012

La cyberintimidation : quel est le rôle de l’école?

La cyberintimidation est un phénomène récent, tellement que le mot ne figure même pas dans le dictionnaire. Or, selon un sondage réalisé par Jeunesse, J’écoute en 2007, 70 % des jeunes Canadiens avouaient avoir été victimes de cyberintimidation (Guillemette-Munger, 2007). Ce phénomène dont nous aurons inévitablement à faire face en tant que futur enseignant mérite donc une attention particulière de ma part cette semaine, et ce, pour deux raisons. D’une part, ce phénomène est en lien direct avec les technologies de l’information et nous ne pouvons le mettre de côté lorsque nous parlons de l’intégration des technologies de l’information et de la communication. D’autre part, ce phénomène est en lien direct avec l’école, puisqu’il affecte les élèves, mais aussi les enseignants (voir à ce propos l’article ci-joint d’Émilie Côté) d’où l’importance de se demander quel rôle doit jouer l’école et les enseignants par rapport à ce phénomène.

Ainsi, bien que l’intimidation ait toujours existé, un nouveau phénomène est apparu dans les écoles depuis l’arrivée d’Internet et des réseaux sociaux : la cyberintimidation. Dans l’article d’Ariane Guillemette-Munger paru dans la Presse, le directeur des services cliniques de Jeunesse, J'écoute Montréal, Bernard Desrochers explique en quoi ce phénomène est particulier et vicieux : « Internet, c'est un moyen instantané, rapide et anonyme de diffuser de l'information. Intimider quelqu'un devient donc plus facile et ça vient rejoindre le jeune dans sa chambre, devant son ordinateur, dans son intimité ».

Nous avons beaucoup parlé dans les dernières semaines des avantages et du bien-fondé à l’intégration des technologies de l’information dans notre enseignement, mais nous n’avons pas parlé de l’impact de ces nouvelles technologies dans nos vies et du rôle que doivent occuper l’école et les enseignants par rapport à l’éducation de ces nouvelles technologies. De ce fait, je crois que l’école a un rôle important à jouer et que les enseignants ont le devoir d’éduquer les jeunes à utiliser adéquatement et intelligemment ces nouvelles technologies, mais ils doivent surtout les éduquer au danger possible de celles-ci. Ainsi, on ne peut plus passer à côté du fait que la technologie fait partie intégrante de la vie de nos futurs élèves, mais on ne peut plus passer à côté non plus de phénomènes directement liés à ces technologies comme la cyberintimidation. Et la responsabilité des parents dans tout ça? Bien sûr que les parents ont un rôle à jouer, mais je crois qu’on ne peut leur laisser l’entière responsabilité du phénomène. 

En définitive, il est certain que, dans ma pratique future, l’utilisation des TIC passera avant tout par la sensibilisation et l’éducation des élèves aux différents phénomènes relatifs aux technologies de l’information parce que l’intégration des TIC passe inévitablement par le développement d’un ensemble de règles sociales propres à celles-ci. Dans un autre ordre d’idées, je vous laisse avec la référence d’un site Internet développé par la GRC et le Gouvernement du Canada et qui propose un jeu sur la cyberintimidation afin de sensibiliser les jeunes au phénomène.

Amusez-vous!


Sources :
Côté, Émilie (2008). Cyberintidimation : les profs aussi y goûtent. La Presse. Repéré à http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/200801/14/01-8721-cyberintimidation-les-profs-aussi-y-goutent.php

Guillemette-Munger, Ariane (2007). Cyberintimidation : le fléau du secondaire. La Presse. Repéré à http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/200704/19/01-11413-cyberintimidation-le-fleau-du-secondaire.php